Astronomie

La comète Hale-Bopp. [40666 views] La comète Hale-Bopp. [37201 views] Transit de Vénus (7h49 GMT). [36349 views] Transit de Vénus (8h59 GMT). [35940 views] Aurore boréale. [36190 views] Saturne  observée avec un téléscope de type DOBSON 30 cm avec oculaire X 10. Le zoom sur l'image montre bien les anneaux visibles de Saturne mais la qualité reste faible avec un petit téléscope. [36284 views] Aurore boréale. [34576 views] Lune. [33648 views] L'objectif de l'appareil étant  dressé vers le ciel nocturne, une pause de 30 minutes est réalisée. Les  étoiles apparaissent sous forme d'arcs de cercles, témoignant de la rotation  de la Terre sur elle même. On peut également voir deux traînées lumineuses  linéaires laissées par des avions. [33361 views] Protubérance solaire. La taille de la protubérance correspond environ à 7 fois le diamètre terrestre. [34422 views] Conjonction Lune/Saturne (la luminosité de Saturne a été augmentée). L'image est obtenue avec une webcam ToUcam pro 3 placée sur le foyer du miroir d'un téléscope Cassegrain de 200 mm. La webcam fait une acquisition de plusieurs dizaines d'images en série, que le logiciel REGISTAX (gratuit) permet de fusionner en une seule photo. Ce logiciel permet de définir un (ou plusieurs) point(s) sur la première image, ensuite il superpose toutes les autres images en se calant sur ce(s) point(s), avant de réaliser une sorte de "moyenne". L'avantage est que cela permet de niveler les imperfections dues aux turbulences atmosphériques. Cette méthode est très utilisée pour les photographies planétaires. [35085 views] Les micrométéorites sont des particules de poussière d'origine extraterrestre (astéroïdes et comètes) qui sont tombées sur Terre. Il tombe environ 1 particule de 200 microns par m<sup>2</sup> et par an sur Terre. Les plus petites sont plus nombreuses, les plus grosses beaucoup plus rares. <br />En triant à la loupe les dépôts provenant du fond d'un collecteur d'eau de pluie, on peut trouver parmi les grains de sables (photo de gauche) des petites sphères métalliques ou vitreuses (photo de droite). Leur taille et leur morphologie sont très comparables à celles des <a href='https://phototheque.enseigne.ac-lyon.fr/photossql/photos.php?RollID=images&FrameID=Spherules'>sphérules cosmiques collectées par filtration de glace antarctique fondue</a>.  <br />Certaines cendres volcaniques et des sphérules d'origine anthropique (surtout de la magnétite issue de l'industrie et des moteurs diesels) ont le même aspect, mais la pollution des moteurs diesels fait des sphères nettement plus petites que celles visibles sur la photo.<br />
Echelle = 100 μm<br />
Pour en savoir plus : <a href='https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1111/j.1945-5100.2008.tb00668.x' target='_blank'>The classification of micrometeorites</a> (en anglais).
 [34063 views] Protubérance solaire. La taille de la protubérance correspond environ à 7 fois le diamètre terrestre. [32871 views] La lune observée avec un téléscope de type DOBSON 30 cm avec oculaire "grand angle". [33015 views] La lune observée avec un téléscope de type DOBSON 30 cm avec oculaire X 10. Le "mur droit" Rupes Recta est bien visible dans le quart sud-est de l'image. [32670 views] Sphérules cosmiques provenant du Cap Prudhomme, Terre Adélie, Antarctique (1994), collectées par filtration de glace fondue. Les micrométéorites sont des particules de poussière d'origine extraterrestre (astéroïdes et comètes) qui sont tombées sur Terre. Il tombe environ 1 particule de 200 microns par m<sup>2</sup> et par an sur Terre. Les plus petites sont plus nombreuses, les plus grosses beaucoup plus rares. <br />Il est également possible d'en trouver en triant à la loupe les <a href='https://phototheque.enseigne.ac-lyon.fr/photossql/photos.php?RollID=images&FrameID=micrometeorites'>dépôts provenant du fond d'un collecteur d'eau de pluie</a>.<br />
Echelle = 200 μm<br />
Remerciements à Cécile Engrand du <a href='http://www.csnsm.in2p3.fr/-Astrophysique-du-solide-'>Centre de Spectrométrie Nucléaire et de Spectrométrie de Masse</a> (Université Paris-Sud 11) pour l'aimable mise à disposition des échantillons.<br />
Pour en savoir plus : <a href='https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1111/j.1945-5100.2008.tb00668.x' target='_blank'>The classification of micrometeorites</a> (en anglais).
 [33261 views] Les quatre grands satellites de Jupiter : Io, Europe, Ganymède et Callisto. Ils   furent découverts en 1610 par Galilée. Ces satellites ont été ensuite nommés lunes galiléennes en son honneur. [32514 views] Météorite Allende. Chondrite carbonée tombée le 8 février 1969 à 1h05 au Mexique (Chihuahua, Pueblo de Allende). Les inclusions blanches constituent les plus anciens fragments de roche connus : ce sont les chondres, petites billes presque exclusivement composées de silicates, qui se sont accumulées les unes aux autres. Ces chondres se sont formés par condensation de poussières lors la formation du système solaire. [32013 views] Tiberrhamine, chondrite ordinaire trouvée en Algérie en 1967. Il tombe chaque année sur Terre 5 000 météorites de plus d'un kilogramme. La majorité d'entre elles ressemble à Tiberrhamine. Les chondrites ordinaires sont les météorites les plus abondantes : elles représentent plus de 78% des chutes. Elles proviennent d'astéroïdes non différenciés situés dans la partie interne de la ceinture d'astéroïdes. Elles contiennent une grande proportion de chondres et peu de matrice. [31004 views] Ksar El Hajoui, chondrite ordinaire trouvée en 2010 au Maroc. Il s'agit d'une météorite orientée. [31297 views] Vouillé, chondrite ordinaire tombée en 1831 en France. Les chondrites ordinaires sont les météorites les plus abondantes : elles représentent plus de 78% des chutes. Elles proviennent d'astéroïdes non différenciés situés dans la partie interne de la ceinture d'astéroïdes. Elles contiennent une grande proportion de chondres et peu de matrice. [30881 views] McKynney, chondrite ordinaire trouvée en 1870 aux états-Unis. Les chondrites ordinaires sont les météorites les plus abondantes : elles représentent plus de 78% des chutes. Elles proviennent d'astéroïdes non différenciés situés dans la partie interne de la ceinture d'astéroïdes. Elles contiennent une grande proportion de chondres et peu de matrice. [30874 views] Saint-Mesmin, chondrite ordinaire tombée en 1866 en France. Les chondrites ordinaires sont les météorites les plus abondantes : elles représentent plus de 78% des chutes. Elles proviennent d'astéroïdes non différenciés situés dans la partie interne de la ceinture d'astéroïdes. Elles contiennent une grande proportion de chondres et peu de matrice. [30965 views] North West Africa 487, chondrite ordinaire tombée en 2000 au Nord-Ouest de l'Afrique. Il n'est pas toujours facile de repérer les chondres au sein des météorites : ces billes de roche fondue et rapidement cristallisée ont parfois été altérées sur leur corps parent, soit par de fortes chaleurs,  soit par de l'eau qui a circulé. Mais dans NWA487, les chondres sont remarquablement bien préservés. [30898 views] Mighei, chondrite carbonée tombée en 1889 en Ukraine. Les chondrites carbonées proviennent d'astéroïdes originaires de la partie externe de la ceinture d'astéroïdes. Particulièrement étudiées, elles contiennent plus de matrice que les chondrites ordinaires et sont riches en carbone. Leur composition chimique est proche de celle du Soleil et elles contiennent des inclusions réfractaires, de couleur blanche, qui sont les premiers solides à s'être formés dans le système solaire. [30950 views] Bencubbin, chondrite carbonée trouvée en 1930 en Australie. Les chondrites carbonées proviennent d'astéroïdes originaires de la partie externe de la ceinture d'astéroïdes. Particulièrement étudiées, elles contiennent plus de matrice que les chondrites ordinaires et sont riches en carbone. Leur composition chimique est proche de celle du Soleil et elles contiennent des inclusions réfractaires, de couleur blanche, qui sont les premiers solides à s'être formés dans le système solaire. [30908 views] Orgueil, chondrite carbonée tombée en 1864 en France. La plupart des météorites sont des roches uniques, radicalement différentes des roches terrestres. Parmi elles, Orgueil occupe une place toute particulière. Sa composition chimique est très proche de celle du Soleil, elle est riche en matière organique et viendrait d'une comète. Ces propriétés exceptionnelles en font une des météorites les plus étudiées au monde. [30938 views] Jbilet Winselwan, chondrite carbonée trouvée en 2013 au Sahara occidental. Les météorites comme Jbilet Winselwan contiennent moins de un millième de grains présolaires. Grâce à leur analyse, on peut déterminer de quel type d'étoiles ils proviennent. Ces poussières d'étoiles ne sont rien d'autre que le matériau de départ de notre système solaire, la poussière primordiale à partir de laquelle les chondres se sont formés. [30872 views] Dar al Gani 400, achondrite lunaire trouvée en 1998 en Lybie. [30889 views] Shergotty, achondrite martienne tombée en 1865 en Inde. [30952 views] Nakhla, achondrite martienne tombée en 1911 en égypte. Nakhla est le spécimen type d'un groupe rare de météorites martiennes : les nakhlites. Elle contient  des argiles et des sels, témoins de circulation d'eau sur la planète rouge. La découverte des ces minéraux a été la première indication de la présence passée d'eau sur Mars. Les robots d'exploration martienne ont à de nombreuses reprises confirmé cette découverte. [31229 views] NWA7533, achondrite martienne trouvée en 2012 en Afrique de l'Ouest. Cette météorite sombre surnommée « Black Beauty » tranche avec les autres martiennes, non seulement par sa couleur, mais aussi par sa nature. Il s'agit d'une brèche, peut-être formée par des impacts. Contrairement aux autres météorites martiennes, sa composition est conforme à celle des régions martiennes explorées par les robots tel Curiosity. [31277 views] Béréba, achondrite de Vesta (eucrite) tombée en 1924 au Burkina Faso. . Les howardites, eucrites et diogénites (« HED ») sont les plus abondantes des achondrites. Elles ont été regroupées en raison de leurs propriétés communes. Il est désormais admis qu'elles proviennent  de l'astéroïde Vesta, un des rares astéroïdes différenciés à avoir survécu aux gigantesques collisions du début de l'histoire du système solaire. Ces météorites sont les seules météorites (en dehors des lunaires et des martiennes) dont on a identifié le corps-parent. [30912 views] Nova 003, achondrite trouvée en 1991 en Australie. Les achondrites représentent 8% des météorites. Elles proviennent de la croûte et du manteau des astéroïdes différenciés. On les nomme ainsi car elles ne contiennent pas de chondres, ces derniers ayant fondu lors du processus de différenciation de leur corps-parent. Certaines sont des roches volcaniques issues de volcans astéroïdaux. Pauvres en métal, elles sont souvent difficiles à distinguer des roches terrestres.

 [31033 views] Tierra Blanca, achondrite trouvée en 1965 aux états-Unis. Elle fait partie d'un groupe très rare (moins  de 0,1 % des chutes) de météorites, les winonaïtes, qui proviennent d'astéroïdes partiellement fondus. On aperçoit dans ces roches des traces fantômes de chondres, sur le point de disparaître sous l'action de la chaleur.  [30785 views] Dar al Gani 779, achondrite de Vesta (Howardite) trouvée en 1999 en Lybie. Les howardites, eucrites et diogénites (« HED ») sont les plus abondantes des achondrites. Elles ont été regroupées en raison de leurs propriétés communes. Il est désormais admis qu'elles proviennent  de l'astéroïde Vesta, un des rares astéroïdes différenciés à avoir survécu aux gigantesques collisions du début de l'histoire du système solaire. Ces météorites sont les seules météorites (en dehors des lunaires et des martiennes) dont on a identifié le corps-parent. [30970 views] Krasnoiarsk, météorite mixte (Pallasite) tombée en 1749 en Russie. Les pallasites ne représentent que 1% de toutes les météorites. Formée à la suite d'une collision entre le noyau de fer d'un astéroïde différencié et le manteau d'un autre astéroïde. [30967 views] Esquel, trouvée en 1951 en Argentine. Météorite mixte (Pallasite). Les pallasites ne représentent que 1% de toutes les météorites. Avec ses grains d'olivine se détachant sur fond de fer, Esquel est considérée comme l'une des plus belles météorites au monde. Les scientifiques pensent qu'elle s'est formée à la suite d'une collision entre le noyau de fer d'un astéroïde différencié et le manteau d'un autre astéroïde. L'éclairage des olivines par transparence permet de mieux voir sa structure. [31500 views] Seymchan, météorite mixte (Pallasite) trouvée en 1967 en Russie. Les pallasites ne représentent que 1% de toutes les météorites. Formée à la suite d'une collision entre le noyau de fer d'un astéroïde différencié et le manteau d'un autre astéroïde. [30801 views] Springwater, météorite mixte (pallasite) trouvée en 1931 au Canada. Les pallasites ne sont pas seulement de jolis spécimens. Constituées d'un assemblage de métal et d'olivine, elles résultent de l'impact entre un astéroïde métallique et le fragment du manteau d'un autre gros astéroïde. Ce sont les rares échantillons de manteau d'astéroïde dont nous disposons. [31000 views] Chassigny, météorite martienne (Nakhlite), tombée en 1815 en France. Le 2 octobre 1815, dans un bruit de canon, un bout de la planète Mars s'abat près de la commune de Chassigny (Haute-Marne). A la fin des années 1970, elle devient le C du groupe des météorites martiennes SNC (Shergottites, Nakhlites, Chassagnites). A ce jour, on ne dénombre que trois Chassignites, dont Chassigny est la seule chute observée. Sa valeur scientifique est inestimable. [31325 views] Haniet-el-beguel, météorite de fer trouvée en 1888 en Algérie. Les météorites de fer, comptant pour 5% des chutes de météorites, sont des fragments du noyau d'un astéroïde différencié, originellement enfoui sous des dizaines, voire des centaines de kilomètres de roches. Certains noyaux ont été mis à jour par de gigantesques collisions qui ont brisé leurs astéroïdes-parents au début de l'histoire du système solaire. Après des milliards d'années dans l'espace, d'autres collisions ont arraché des fragments de ces noyaux mis à nu et ils ont pris la direction de la Terre. [31179 views] Grant, météorite de fer trouvée en 1929 aux états-Unis. Cette météorite a été coupée, polie, puis exposée à de l'acide nitrique. Ce traitement révèle des figures géométriques, les figures de Widmanstätten, caractéristiques du fer extraterrestre. Elles ne peuvent être produites que si le fer se refroidit extrêmement lentement, en plusieurs millions d'années.  Elles sont une signature unique de la matière extraterrestre. La largeur des motifs permet d'estimer la taille de l'astéroïde dont la météorite provient. [31054 views] Ocotillo, météorite de fer trouvée en 1990 aux états-Unis. Cette météorite a été coupée, polie, puis exposée à de l'acide nitrique. Ce traitement révèle des figures géométriques, les figures de Widmanstätten, caractéristiques du fer extraterrestre. Elles ne peuvent être produites que si le fer se refroidit extrêmement lentement, en plusieurs millions d'années.  Elles sont une signature unique de la matière extraterrestre. La largeur des motifs permet d'estimer la taille de l'astéroïde dont la météorite provient. [30870 views] Saint-Aubin, météorite de fer trouvée en 1968 en France. C'est une des trois météorites de fer trouvées en France. Elle a été coupée, polie, puis exposée à de l'acide nitrique. Ce traitement révèle des figures géométriques, les figures de Widmanstätten, caractéristiques du fer extraterrestre. Elles ne peuvent être produites que si le fer se refroidit extrêmement lentement, en plusieurs millions d'années.  Elles sont une signature unique de la matière extraterrestre. La largeur des motifs permet d'estimer la taille de l'astéroïde dont la météorite provient. [30939 views] Roebourne, météorite de fer trouvée en 1892 en Australie. Cette météorite a été coupée, polie, puis exposée à de l'acide nitrique. Ce traitement révèle des figures géométriques, les figures de Widmanstätten, caractéristiques du fer extraterrestre. Elles ne peuvent être produites que si le fer se refroidit extrêmement lentement, en plusieurs millions d'années.  Elles sont une signature unique de la matière extraterrestre. La largeur des motifs permet d'estimer la taille de l'astéroïde dont la météorite provient. [30900 views] La Caille, météorite de fer découverte par un berger au 17ème siècle. D'abord utilisée comme enclume, elle sert ensuite de banc devant l'église du village. En 1829, le Muséum la fait transporter à Paris, offrant en échange une horloge aux villageois. Avec ses 626 kg, il s'agit de la plus grosse météorite française. [30860 views] Zacatecas, météorite de fer trouvée en 1969 au Mexique. Avant que sa nature extraterrestre ait été reconnue en 1969, la météorite de Zacatecas a été utilisée comme enclume pendant des décennies. On peut voir sur ce spécimen des traces de martelage. [30974 views] Cape York, météorite de fer trouvée en 1818 au Groenland. Pendant des siècles, les Inuits du nord du Groenland ont utilisé des météorites de fer pour fabriquer des harpons, des couteaux ou des aiguilles. Les météorites de fer, comptant pour 5% des chutes de météorites, sont des fragments du noyau d'un astéroïde différencié, originellement enfoui sous des dizaines, voire des centaines de kilomètres de roches. Certains noyaux ont été mis à jour par de gigantesques collisions qui ont brisé leurs astéroïdes-parents au début de l'histoire du système solaire. Après des milliards d'années dans l'espace, d'autres collisions ont arraché des fragments de ces noyaux mis à nu et ils ont pris la direction de la Terre. [30885 views] Juncal, météorite de fer trouvée en 1866 au Chili. Les météorites de fer, comptant pour 5% des chutes de météorites, sont des fragments du noyau d'un astéroïde différencié, originellement enfoui sous des dizaines, voire des centaines de kilomètres de roches. Certains noyaux ont été mis à jour par de gigantesques collisions qui ont brisé leurs astéroïdes-parents au début de l'histoire du système solaire. Après des milliards d'années dans l'espace, d'autres collisions ont arraché des fragments de ces noyaux mis à nu et ils ont pris la direction de la Terre. [31087 views] Canyon Diablo, météorite de fer trouvée en 1891 aux états-Unis. Meteor Crater, d'un diamètre de 1,2 km a été creusé il y a 50 000 ans par la chute d'une météorite de fer de 100 mètres arrivée au sol à 15 km/s. On a retrouvé dispersées autour du cratère plus de 30 tonnes de météorites, appelées Canyon Diablo. Cela peut paraître beaucoup mais ce n'est rien par rapport à la masse estimée du bolide qui a formé le cratère, des dizaines de millions de tonnes. [31147 views] Les tectites «australasites» ont été formées il y a 770 000 ans lors de la chute d'une énorme météorite. Ce sont des éjectas, éjectés fondus, à grande vitesse et de manière unidirectionnelle lors d'un impact arrivant sans doute très obliquement. On ne connaît pas le cratère à l'origine du champ de répartition de ces tectites, le plus vaste connu, qui s'étend du Sud de la Chine à l'Australie. Les macro-tectites ont souvent des formes étranges, inhabituelles pour des roches trouvées dans la nature : sphère, ellipsoïde, haltère ou diabolo, poires ou larme, disque renflé sur ses bords... Ces formes sont dues à l'histoire balistique de ces gouttes de silicates fondus éjectées à grande vitesse du cratère. Un astéroïde arrivant au sol avec une vitesse qui peut atteindre 20 km/s peut sans problème éjecter des débris à une vitesse de plusieurs km/s. Ces éjectas empruntent alors une trajectoire balistique (en forme théorique de parabole si on néglige les effets atmosphériques) et peuvent retomber à des centaines ou à des milliers de kilomètres de l'impact. C'est en parcourant cette trajectoire que les tectites acquièrent leur forme, sachant que cette trajectoire commence sous forme d'un liquide (sans doute très visqueux) et se termine après sa solidification, que certaines des masses liquides éjectées sont sans doute animées d'une rotation rapide sur elles-mêmes, que la solidification peut avoir lieu n'importe où sur la trajectoire, et qu'il peut y avoir de multiples fragmentations (à l'état liquide ou solide) durant ce trajet. Les compositions élémentaires et isotopiques des tectites prouvent que le matériel à l'origine des tectites est majoritairement terrestre, et ne provient quasiment pas de la météorite. [30889 views] Les tectites «australasites» ont été formées il y a 770 000 ans lors de la chute d'une énorme météorite. Ce sont des éjectas, éjectés fondus, à grande vitesse et de manière unidirectionnelle lors d'un impact arrivant sans doute très obliquement. On ne connaît pas le cratère à l'origine du champ de répartition de ces tectites, le plus vaste connu, qui s'étend du Sud de la Chine à l'Australie. Les macro-tectites ont souvent des formes étranges, inhabituelles pour des roches trouvées dans la nature : sphère, ellipsoïde, haltère ou diabolo, poires ou larme, disque renflé sur ses bords... Ces formes sont dues à l'histoire balistique de ces gouttes de silicates fondus éjectées à grande vitesse du cratère. Un astéroïde arrivant au sol avec une vitesse qui peut atteindre 20 km/s peut sans problème éjecter des débris à une vitesse de plusieurs km/s. Ces éjectas empruntent alors une trajectoire balistique (en forme théorique de parabole si on néglige les effets atmosphériques) et peuvent retomber à des centaines ou à des milliers de kilomètres de l'impact. C'est en parcourant cette trajectoire que les tectites acquièrent leur forme, sachant que cette trajectoire commence sous forme d'un liquide (sans doute très visqueux) et se termine après sa solidification, que certaines des masses liquides éjectées sont sans doute animées d'une rotation rapide sur elles-mêmes, que la solidification peut avoir lieu n'importe où sur la trajectoire, et qu'il peut y avoir de multiples fragmentations (à l'état liquide ou solide) durant ce trajet. Les compositions élémentaires et isotopiques des tectites prouvent que le matériel à l'origine des tectites est majoritairement terrestre, et ne provient quasiment pas de la météorite. [30873 views] Les tectites «australasites» ont été formées il y a 770 000 ans lors de la chute d'une énorme météorite. Ce sont des éjectas, éjectés fondus, à grande vitesse et de manière unidirectionnelle lors d'un impact arrivant sans doute très obliquement. On ne connaît pas le cratère à l'origine du champ de répartition de ces tectites, le plus vaste connu, qui s'étend du Sud de la Chine à l'Australie. Les macro-tectites ont souvent des formes étranges, inhabituelles pour des roches trouvées dans la nature : sphère, ellipsoïde, haltère ou diabolo, poires ou larme, disque renflé sur ses bords... Ces formes sont dues à l'histoire balistique de ces gouttes de silicates fondus éjectées à grande vitesse du cratère. Un astéroïde arrivant au sol avec une vitesse qui peut atteindre 20 km/s peut sans problème éjecter des débris à une vitesse de plusieurs km/s. Ces éjectas empruntent alors une trajectoire balistique (en forme théorique de parabole si on néglige les effets atmosphériques) et peuvent retomber à des centaines ou à des milliers de kilomètres de l'impact. C'est en parcourant cette trajectoire que les tectites acquièrent leur forme, sachant que cette trajectoire commence sous forme d'un liquide (sans doute très visqueux) et se termine après sa solidification, que certaines des masses liquides éjectées sont sans doute animées d'une rotation rapide sur elles-mêmes, que la solidification peut avoir lieu n'importe où sur la trajectoire, et qu'il peut y avoir de multiples fragmentations (à l'état liquide ou solide) durant ce trajet. Les compositions élémentaires et isotopiques des tectites prouvent que le matériel à l'origine des tectites est majoritairement terrestre, et ne provient quasiment pas de la météorite. [30935 views] Les tectites «australasites» ont été formées il y a 770 000 ans lors de la chute d'une énorme météorite. Ce sont des éjectas, éjectés fondus, à grande vitesse et de manière unidirectionnelle lors d'un impact arrivant sans doute très obliquement. On ne connaît pas le cratère à l'origine du champ de répartition de ces tectites, le plus vaste connu, qui s'étend du Sud de la Chine à l'Australie. Les macro-tectites ont souvent des formes étranges, inhabituelles pour des roches trouvées dans la nature : sphère, ellipsoïde, haltère ou diabolo, poires ou larme, disque renflé sur ses bords... Ces formes sont dues à l'histoire balistique de ces gouttes de silicates fondus éjectées à grande vitesse du cratère. Un astéroïde arrivant au sol avec une vitesse qui peut atteindre 20 km/s peut sans problème éjecter des débris à une vitesse de plusieurs km/s. Ces éjectas empruntent alors une trajectoire balistique (en forme théorique de parabole si on néglige les effets atmosphériques) et peuvent retomber à des centaines ou à des milliers de kilomètres de l'impact. C'est en parcourant cette trajectoire que les tectites acquièrent leur forme, sachant que cette trajectoire commence sous forme d'un liquide (sans doute très visqueux) et se termine après sa solidification, que certaines des masses liquides éjectées sont sans doute animées d'une rotation rapide sur elles-mêmes, que la solidification peut avoir lieu n'importe où sur la trajectoire, et qu'il peut y avoir de multiples fragmentations (à l'état liquide ou solide) durant ce trajet. Les compositions élémentaires et isotopiques des tectites prouvent que le matériel à l'origine des tectites est majoritairement terrestre, et ne provient quasiment pas de la météorite. [30938 views]

SVT : Astronomie

1998 photos dans la photothèque
Une photo au hasard
Les 3 dernières photos référencées
     

Les photos de cette banque sont libres de droits pour un usage pédagogique non commercial : CC BY-NC
Toute autre utilisation devra être soumise à l'accord préalable de l'auteur.
Vous pouvez proposer une photo pour la banque.

 
Haut de page